« À l’instar des sept épaisseurs en bois de puzzles superposés de sa tour de Babel, on peut se demander si ces différents langages visuels et leur surabondance concourent à une meilleure compréhension de notre histoire passée et présente ou à l’éclatement de nos repères. Caroline Delieutraz redonne une épaisseur à ces représentations fragmentées et invite à renouer avec le temps du regard. »

« Le festival Gamerz ouvre les boîtes noires (et nos yeux) » par Sarah Taurinya
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